chaque course est différente

chaque course est différente
ben wood
Ben a commencé à courir pour passer le test de qualification des Royal Marines à 17 ans. Après cinq ans de service, il quitte les Marines pour déménager à Londres en 2005 et commencer une nouvelle vie comme coach de boxe. Un mauvais accident en snowboard l’a toutefois empêché de poursuivre la boxe, le menant à rallumer la flamme de son amour pour la course, et depuis, il n’a jamais regardé en arrière. Aujourd’hui, il ne peut imaginer sa vie sans la course, sa source intarissable de joie.

« Je crois que mon premier avant-gout de la course était lors de mon entrainement pour m’enrôler dans les Royal Marines, quand j’étais adolescent. Pour devenir un Marine et avoir son béret vert, il faut courir 30 miles à travers les landes du Dartmoor. Ils appellent ça une marche rapide, mais en fait, c’est vraiment de la course. Tout est hors-routes, en bottes et avec son équipement. »
« Tout ce qu’on a, c’est littéralement soi et sa respiration. On dit que la pleine conscience est vraiment en vogue présentement, et je crois fermement que la course est l’une des meilleures activités à faire pour favoriser sa santé mentale. »
oluwakemi mafe
Kemi est une ingénieure chimiste devenu banquière, toujours en recherche de plus de façons de partager son obsession pour la course avec sa passion profonde pour le contact avec les gens, pour les toucher et les aider à améliorer leur mode de vie. Que ce soit dans une discussion animée entre amis issus de plusieurs clubs de course différents, ou dans son travail comme lapin de course, Kemi cherche toujours à aider les gens qui l’entourent à apprécier le sport et célébrer l’accomplissement de leurs objectifs. Pour Kemi, l’avenir sera une continuation de son aventure avec la course en sentier, un plongeon dans le monde des ultra-marathons et l’organisation de courses dans son Nigeria natal, où elle veut devenir l’un des catalyseurs dans l’expansion du monde de la course de longue distance.
« Mon doctorat a été vraiment stressant. Une journée, je suis sortie marcher. Je suis revenu, et sans vraiment savoir d’où ça venait, je me suis fait la réflexion que j’aurais pu courir ce que je venais de marcher. »
« Ce que j’aime vraiment de courir à Londres, c’est que je peux simplement sortir et courir. Ma famille habite au Nigéria. Alors j’y vais quand même fréquemment. Quand j’y sors courir, je ne peux pas simplement sortir et courir dans les rues, je dois me déplacer vers un endroit plus sûr, et y courir sur la route. Ici, je peux simplement sortir, et me mettre à courir une fois le pas la porte passée. »
yvette casallas
Yvette est une ambassadrice de communauté et une coureuse en sentier passionnée vivant à Londres. Elle a toujours une bonne raison pour s’évader hors de la ville et explorer les grandes étendues naturelles, que ce soit sur un sentier local ou une montagne qui lui permettra de travailler sur sa grimpe. Elle adore sortir de sa zone de confort et repousser ses limites pour voir ce qu’elle est capable d’accomplir. Cette expérience de l’inconnu est pour elle une aventure où elle se découvre elle-même, en apprenant et en progressant constamment, tout ayant du plaisir.

L’adaptation aux restrictions liées à la COVID a certainement été exigeante pour elle, mais elle a fait de son mieux pour rester constante sur son entrainement, histoire d’être prête quand les événements recommenceront. Ses courses pour 2020 ont été repoussées à cette année, et elle maintient le cap pour accomplir son premier 100 miles au mois de juin, et terminer la célèbre TDS du circuit de l’UTMB en aout.
« Je n’ai jamais su ce que la course en sentier était. Je ne savais pas qu’on pouvait quitter Londres, et qu’en dedans d’une demi-heure ou une heure on pouvait parcourir des sentiers magnifiques. »
« Ce qui est fascinant avec la course, c’est que la progression nous mène à repousser nos limites de plus en plus, en mettant nos capacités à l’épreuve, pour accomplir quelque chose qu’on ne croyait pas possible. »

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